Encore pirates
Je travaille sans arrêt. Je ne vois (presque) plus personne et je suis toujours penché sur ma table à dessin. Paris est un boulevard en dehors de ma fenêtre.
Deux cent mètres jusqu’au supermarché.
L’histoire avance donc.
J’entre et je sors de l’ambiance piratesque. Je me casse la tête sur les pages autobiographiques. Je pense souvent d’être fou. D’autres fois j’ai l’impression que tout avance sans souci.
Voici les quatre dernières pages réalisés.



Deux cent mètres jusqu’au supermarché.
L’histoire avance donc.
J’entre et je sors de l’ambiance piratesque. Je me casse la tête sur les pages autobiographiques. Je pense souvent d’être fou. D’autres fois j’ai l’impression que tout avance sans souci.
Voici les quatre dernières pages réalisés.



